Introduction
Napoléon Bonarpart, le permier empereur de Permier Empire, s’empapre de la couronne des mains du Pape. Il s’oppose au prestige du christianisme, mais il a besoin de se faire couronner par le Pape. Il utilise la réputation religieuse pour imposer son trône au peuple français. Le couronnement, c’est une cérémonie religieuse qui admet la puissance du roi.
Dans l’histoire de la France, suivant le roi Charlemagne, les grands rois sont couronnés par le Saint-Siège. Le Saint-Siège a le droit de couronner ou de rejeter les rois européens. Le Pape a une grande influence sur la politique, grâce à son appel au peuple.
Au Myen Âge qui est l’ère de la foi, la capacité d’appel et l’influence de Saint-Siège sont plus puissantes que celle d’aujourd’hui. Les gens croient en Dieu, et ils croient que les parrains sont les porte-paroles de Dieu qui expriment la volonté de Dieu. Ils vont à la messe et reçoivent le bon Dieu touts les semaines. Et ils font les confessions sincères pour retourner vers le côté de Dieu , le parrain donne l’absolution à l’issue de la confession. La juridiction laïque ne serait pas au courant du secret de la confession, le criminel qui se pardonne par le Dieu ne subirait pas la repression laïque. L’église est un pouvoir absolu.
En Chine, la situation de religion est toute différente. Le taoïsme, qui est la religion locale, est un idéal d’insouciance, de spontanéité, de liberté individuelle, de refus des rigueurs de la vie sociale et de communion extatique avec les forces cosmiques. Les taoïstes s’emploient à des pratiques scientifiques et à la quête d’immortalité, ne s’intéressent pas au pouvoir. Le confucianisme, autrement dit l’école confucéenne, est d’une religion de l’empereur qui appuie le pouvoir de celui-ci. Et le bouddhisme, une religion étrangère, devient la plus grande religion chinoise, n’a pas la capacité de compétitivité de puissance.