Introduction
Jean-Jacques Rousseau, né le 28 juin 1712 à Genève et mort le 2 juillet 1778 à Ermenonville[1]. Il est écrivain, philosophe et musicien genevois de langue française. Il est un des plus illustres philosophes du siècle des Lumières, bien que ses oeuvres philosophiques et son tempérament l’aient souvent opposé au rationalisme des Lumière ainsi qu’à quelques-uns de ses éminents représentants. Ses travaux ont influencé grandement l’esprit révolutionnaire français. Il est particulièrement célèbre pour ses travaux sur l’homme, la société ainsi que sur l’éducation. La philosophie politique de Rousseau se situe dans la perspective dite contractualiste des philosophes britanniques des XVIIèmeet XVIIIème siècle, et son fameux « Discours sur l’inégalité » se conçoit aisément comme un dialogue avec l’oeuvre de Tomas Hobbes[2].
Jean-Jacques Rousseau a des pensées principales: la pensée politique, la pensée de nature, la pensée d’amour et la pensée d’éducation. Dans son ouvrage l’Émile[3], il expose sa pensée d’éducation. Ses points de vue ont des significations positives. Mais, il existe aussi des contradictions et des limitations. Certaines pensées ne peuvent pas être réalisées.
Jean-Jacques Rousseau est un démocrate radical. L’essence de ses pensées et son principe fondamental est la pensée « Souveraineté du peuple ». Il insiste sur le « déisme », il s’oppose à « l’athéisme ». L’idéalisme est la grande tendance de sa philosophie.
La pensée « souveraineté du peuple » de Rousseau est sincère. Bien qu’il existe des mérites et des fautes quand cette théorie dans la pratique, en fait ces déviations sont les erreurs des descendants, ne sont pas gouvernés par Rousseau lui-même. Du point de vue du monde, la théorie « souveraineté du peuple » de Rousseau joue encore un rôle positif. La théorie n’a pas seulement favorisé la lutte contre le règne féodal, mais aussi promu le processus de démocratisation. Elle a une grande signification progressiste envers la révolution démocratique.